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Les 3 termes sont similaires. Les Médecines Complémentaires sont ainsi qualifiées car elles viennent en appui de la Médecine Conventionnelle. Véritables atouts, les Médecines Complémentaires peuvent permettre une récupération beaucoup plus rapide de l’animal.

N’hésitez pas à consulter notre page Médecines Complémentaires pour en savoir plus.

En cas d’intoxication d’animaux domestiques, deux centres anti-poisons existent en France :

• Le Centre Antipoison Animal et Environnemental de l’Ouest (CAPAE-Ouest) : 0240687740
• Le Centre National d’Informations Toxicologiques Vétérinaires (CNITV) : 0478871040

Retrouvez toutes les informations sur ces centres anti-poisons sur le site de l’ordre national des vétérinaires

Chez les reptiles, la mue est un phénomène naturel. La peau des reptiles est composée de 2 couches : l’épiderme et le derme. La mue concerne la partie superficielle de la peau : l’épiderme.

Lors de la première phase, du liquide lymphatique s’accumule entre la nouvelle et l’ancienne couche de peau pour décoller cette dernière. Votre serpent présentera un aspect plus terne des écailles et une coloration bleutée de la lunette pré-cornéenne. Durant cette phase, la vision du serpent est diminuée, ce qui peut le rendre plus nerveux.

En général, ce phénomène dure entre 7 et 14 jours. A la fin du processus de mue, le serpent va chercher à se frotter à une surface rugueuse afin de pouvoir retirer plus facilement son exuvie (ancienne peau).

Oui, l’identification de certaines espèces de tortues est obligatoire. Si vous adoptée une tortue, elle doit être obligatoirement identifiée pour la vente. La puce (ou transpondeur) se pose sous la peau, au niveau de la cuisse ou de la queue, sans anesthésie.

Les tortues sont des animaux ectothermes, c’est-à-dire que la température de leur corps dépend de la température extérieure. Ainsi les tortues terrestres, comme la Tortue Grecque et la Tortue d’Hermann, hibernent pour passer la période hivernale, généralement d’octobre/novembre à mars/avril (en fonction des régions). Cependant, les conditions d’hibernation varient en fonction des espèces (température, durée, etc). En captivité, cette période d’hibernation peut être plus courte (un à deux mois) avec un maintien en terrarium ou en enclos (selon l’âge et la taille) si le temps ne permet pas de les mettre en extérieur.

Toutes les femelles oiseaux peuvent produire et pondre des œufs sans la présence d’un mâle. Malheureusement, il peut arriver que l’œuf se “coince”. Nous parlons alors de rétention d’œufs qui des troubles sévères du métabolisme, ce qui constitue une urgence vitale. Parmi les symptômes pouvant vous alerter, nous retrouvons l’abattement, des troubles respiratoires, des efforts d’expulsion, un prolapsus du cloaque et/ou de l’oviducte, une boiterie ou encore une paralysie.

Nous vous recommandons de consulter rapidement votre vétérinaire.

“L’arrachage” des plumes chez les oiseaux, appelé “picage”, peut être causé par divers facteurs, notamment des problèmes de santé, de comportement ou des facteurs environnementaux.

Si votre oiseau s’arrache les plumes jusqu’à être totalement ou partiellement déplumé, cela n’est pas normal ! Le diagnostic est souvent complexe, il est donc nécessaire de consulter un vétérinaire NAC afin d’en déterminer la cause sous-jacente et d’élaborer un plan de traitement approprié.

Le terme NAC signifie “Nouveaux Animaux de Compagnie”. Les animaux suivants appartiennent à la catégorie des NAC :

• les rongeurs
• les lagomorphes (lapin)
• le furet
• les reptiles (serpents, lézards, tortues, etc)
• les oiseaux
• les amphibiens (grenouilles, salamandres, crapauds, etc)

La décision de stériliser votre lapin, votre furet ou encore votre cochon d’inde dépend de plusieurs facteurs, notamment l’espèce de l’animal, son sexe, son comportement, son environnement et vos préférences en matière de soins. La stérilisation peut permettre de contrôler certains comportements indésirables, prévenir des problèmes de santé (tumeurs, infections utérines …) et, bien sûr, contrôler la reproduction.

Les problèmes dentaires sont courants chez de nombreux petits mammifères, en particulier chez les lapins, les cochons d’Inde, les chinchillas et les octodons. Pour prévenir ces problèmes :

• Assurez-vous que votre animal ait une alimentation équilibrée, riche en fibres, avec du foin à volonté.
• Eviter les aliments riches en sucre ou en amidon.
• Consultez régulièrement un vétérinaire pour des examens dentaires et des soins préventifs si nécessaire.

La vaccination du furet est conseillée contre la maladie de Carré. Si vous êtes amené(e) à voyager hors de France, la vaccination antirabique sera obligatoire.

Chez le lapin, la vaccination contre la maladie virale hémorragique (VHD) et la myxomatose est importante car les lapins peuvent s’infecter même s’ils restent à l’intérieur. Plusieurs protocoles existent, en fonction du mode de vie de votre compagnon et de la situation sanitaire française.

Les signes de maladie chez les petits mammifères peuvent varier en fonction de l’espèce, mais certains signes généraux à surveiller incluent :

• Diminution de l’appétit ou refus de manger
• Changements dans les habitudes prise de de boisson
• Léthargie ou manque d’activité
• Changements de l’aspect des selles (diarrhée, constipation, etc.)
• Problèmes respiratoires tels qu’une respiration sifflante ou difficile
• Écoulement nasal ou oculaire
• Changements d’aspect du pelage ou de la peau (perte de poils, rougeurs, démangeaisons)
• Toux ou éternuements fréquents
• Changements de comportement (agressivité soudaine, retrait social)
• Amaigrissement alors qu’il semble manger normalement

Non, la castration d’un jeune chien mâle n’aura pas d’incidence sur son caractère. Il restera aussi joueur et affectueux. En revanche, les comportements indésirables liés à l’activité sexuelle (marquage du territoire, comportement de réactivité envers les autres mâles…) s’estomperont.

Les vaccinations essentielles pour les chiens incluent le vaccin contre la maladie de Carré (C), l’Hépatite de Rubarth (H), la parvovirose (P), l’influenza (I) et la Leptospirose (L4). Si votre chien est amené à voyager en dehors de la France, le vaccin contre la rage sera obligatoire.

Consulter notre article dédié

Le surpoids chez les chiens peut être évalué en vérifiant la forme de leur corps. Vous devriez pouvoir sentir les côtes de votre chien avec une légère pression et observer une taille définie lorsque vous regardez d’en haut. Si vous avez des doutes sur le poids de votre chien, consultez votre vétérinaire pour une évaluation plus précise.

La stérilisation/castration peut aider à prévenir les problèmes de comportement et éviter toute pathologie liée à la présence des hormones (tumeur mammaire et infection de l’utérus notamment). Plus la stérilisation se fait tôt, plus ces pathologies peuvent être évitées.

Les signes de maladie chez les chiens peuvent être nombreux. Les signes courants incluent une perte d’appétit, des vomissements, une diarrhée persistante, une léthargie inhabituelle, des difficultés respiratoires, des boiteries, des éruptions cutanées ou tout changement soudain dans le comportement normal de votre chien. Si vous remarquez l’un de ces signes, ne tardez pas à consulter votre vétérinaire traitant.

Des produits antiparasitaires comme des colliers antipuces, des pipettes ou des comprimés antipuces existent. L’examen régulier de la peau de votre chien peut également aider à détecter et à traiter les infestations précoces.

Comportement récurrent chez les chats, il s’agit d’un marquage territorial. Offrez à votre chat des alternatives pour griffer, comme des grattoirs. L’utilisation de phéromones que l’on pulvérise sur les emplacements concernés est généralement efficace. La coupe des griffes peut également être utile.

Certaines plantes d’intérieur peuvent être toxiques pour les chats s’ils les ingèrent. Parmi elles, on trouve le lys, le Dieffenbachia, le philodendron et le laurier-rose. Assurez-vous que les plantes de votre maison ne représentent pas de danger pour votre chat, ou placez-les hors de sa portée.

Les signes de maladie chez les chats peuvent être nombreux. Par exemple : une perte d’appétit, une léthargie, des changements dans les habitudes de toilette, des vomissements, de la diarrhée, des difficultés respiratoires, des écoulements oculaires ou nasaux anormaux, des changements de comportement et des signes de douleur. Si vous remarquez l’un de ces signes, ne tardez pas à consulter votre vétérinaire traitant

Le surpoids chez les chats peut être évalué en vérifiant la forme de leur corps. Vous devriez pouvoir sentir les côtes de votre chat avec une légère pression et observer une taille définie lorsque vous regardez d’en haut. Si vous avez des doutes sur le poids de votre chat, consultez votre vétérinaire pour une évaluation plus précise.

Utilisez des traitements antiparasitaires recommandés par votre vétérinaire, tels que des pipettes, des colliers ou des comprimés. Il est également important de garder l’environnement de votre chat propre en aspirant régulièrement et en lavant la literie.

Les vaccinations essentielles pour les chats incluent le vaccin contre le virus de la leucose féline (FeLV), le vaccin contre le coryza (rhinotrachéite virale féline et calicivirus) et le vaccin contre la panleucopénie féline (FPV). Le vaccin contre la rage est également recommandé, en particulier pour les chats qui sortent à l’extérieur. Si votre chat est amené à voyager en dehors de la France, le vaccin contre la rage sera obligatoire.

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